Iclode Admin
Nombre de messages : 2804 Date d'inscription : 30/03/2006
| Sujet: étude Mar 4 Juil - 8:17 | |
| bonjour à tous. voila comme on ne peux pas juger son texte d'un manniére objective. je fais moi aussi une demande d'étude. - Citation :
- 1. La chevauchée du Prince Iclode
- Excalbiure ! Ce mot résonna sur tout les environs. Une épée brillait d’une forte lumière transperçant l’épaisse brume qui les entourait. A quelques lieues de là une bête aperçut l’épée. Cette bête ravageait les environs. En voyant l’épée, elle prit peur et elle décida de partir. Quelqu’un l’avait avertit. Cette bête était la raison même de la venue du propriétaire de l’épée. C’était lui qui avait prononcé « Excalbiure ». Il vit la bête disparaître peu à peu. Il décida d’accélérer son cheval afin de la rattraper mais il était trop tard. - Je n’ai plus aucune raison de rester ici, dit le Prince Iclode. Iclode, tel était son nom. Il rangea Excalibure, son épée, dans son fourreau. La lueur, qui n’était qu’une lueur d’espoir devint un lueur de soleil mais comme la lueur d’espoir cette lueur était petite. Cela faisait une année que le soleil n’éclairait pas ce royaume. La venue du soleil réjouit tout le monde. Seul Iclode sentait qu’un chose n’allait pas. Le soleil est encore trop faible pour transpercer à nouveau le noir, se dit Iclode. Le soleil était l’ami d’Iclode. - Reculez-tous, ordonna t-il. Personne ne savait qui avait donne l’ordre car ils se voyaient à peine mais tout le monde obéit car il reconnurent la voie qui avait prononcé le nom de l’épée. Sans le savoir, en reculant il avaient formé un grand cercle autour d’Iclode. Le prince fit brûler tous ses membres devenant un véritable être de feu. C’est à ce moment que tout le monde put le voir. Il brûlait de plus en. Plus il brûlait moins il avait la forme d’un homme et devenait une grande sphère de feu. Il devint en quelques minutes une grande sphère de feu. La boule chauffait de plus en plus et ressemblait plus à une sphère de lave qu’à une sphère de feu. Une irruption de feu apparut, identique à celle d’un soleil. La sphère était devenue une copie plus petite du soleil. Ce soleil réchauffait et éclairait autant qu’un vrai soleil. La lave de l’irruption tomba sur le sol. D’autres irruptions eurent lieues laissant tous une traînée de lave sur le sol. Au bout de la dixième un cercle de lave se forma. Deux autres irruptions se furent à chaque côté de la sphère, gigantesques comparés aux autres. Au départ elle ressemblaient à des irruptions mais ces irruptions ne ressemblaient pas aux autres. Celles là avaient le forme d’ailes trois fois plus grandes que celles d’une aigle. - Phénix, retentit une voix venant de la sphère. A ce moment un grand cylindre de feu forma autour du Cercle. La sphère était masqué par le cylindre. Seul les ailes qui dépassaient de chaque côté étaient encore visibles. Le cylindre perdit peu à peu de la hauteur et finit par disparaître. La sphère aux deux ailes prit une nouvelle forme, celle d’un Phénix de feu aux ailes déployées. Le spectacle était grandiose. Iclode le phénix brillait comme plusieurs soleils. Ce fut la plus belle chose qu’il était donné de voir pour vivant. Il était entièrement fait de feu, d’un feu d’un rouge aussi rouge qu’un morceau de charbon chauffé à très haute température et d’un jaune si vif que vous le méprendriez avec de la lumière. L’oiseau de feu prit son envole vers le disque d’était le soleil. Il allait aussi vite qu’un fusée. Qu dis-je, il allait au moi aussi vite qu’un comète qui traverse le ciel. Le spectacle d’une étoile filante n’est rien face à la beauté de la flamme d’un Phénix qui traverse le ciel. Tel une étoile filante, il laissait un traînée derrière lui. Cette traînée avait prit le rouge la flamme et sa brillance. Iclode sortit de l’atmosphère terrestre. Il était face à une sphère bleue qui était le Terre. Durant son trajet il avait grandi à une vitesse hallucinante . Dans la Terre, dans le pays qui se nommera Egypte, sur le terre fertile du Nil, le peuple qu’avait sauvé Iclode contemplait le ciel. Ce ciel il y’a quelques minutes n’était qu’un ciel noir, avec des nuages noirs, une lune et soleil masqué. Enfin tout le monde put se voir en se passant du feu qui avec ce froid et ce vent s’éteignait en quelques minutes. Il virent la tête du phénix avec son crâne de feu, ses yeux dont les pupilles enfermaient une flamme et son bec d’or. Une grande aile de feu passa au dessus de leur tête. Comme une gomme elle effaça la nuit et laissa place à un beau ciel bleu et un soleil plus beau que jamais. L’aile s’écarta peu à peu. En suite il virent Iclode foncer vers le Terre rétrécissant au fur à mesure qu’ils avançaient mais il ne ralentit pas et s’écrasa sur le sol. Au contact avec le sol il reprit sa forme humaine et son cheval qui avait disparut lors de la métamorphose reparut. Iclode était étendu sur le sol ses yeux fermés. Le peuple s’assembla autour du prince. Il ne savaient que faire. Etait-il mort ? L’un deux s’avança et toucha le heaume d’Iclode. Par réflexe, Iclode lui prit un peu d’énergie.
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Dobby Maitre du forum
Nombre de messages : 1997 Age : 32 Date d'inscription : 05/04/2006
| Sujet: Re: étude Mar 4 Juil - 14:18 | |
| GUILLORET!!!Ya du boulot pour toi!! | |
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Grilloquet Correcteur attitré (admin)
Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 22/06/2006
| Sujet: Re: étude Mar 10 Oct - 20:17 | |
| - Citation :
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1.La chevauchée du Prince Iclode.
__ Excalbiure ! Ce mot résonna alentours. Une épée étincelante de lumière transperça l’épaisse brume environnante. Non loin de là, une bête l’aperçut, elle ravageait les environs. Elle prit peur et décida de partir. Cette créature était la raison de la venue du légataire de l’épée. C’est lui qui avait prononcé « Excalbiure ». Il vit la disparaître au loin, et décida de presser son cheval afin de la rattraper…, mais c’était trop tard. __ Je n’ai plus aucune raison de rester ici, murmura le Prince Iclode, tel était son nom. Il rangea Excalbiure, dans son fourreau. La lueur, qui n’était que celle de l’espoir devint un rayon de soleil mais comme un trait d’espoir cet éclat était petit. Cela faisait une année que l’astre n’éclairait plus le royaume, son retour réjouit tout le monde. Seul Iclode percevait qu’une chose n’allait pas. « Le soleil est encore trop faible pour transpercer à nouveau l’obscurité », se dit Iclode. L’astre du jour était l’ami d’Iclode. __ Reculez tous, ordonna-t-il. Personne ne sut qui avait donné l’ordre, c’est à peine, s’ils se voyaient, mais tout le monde obéit en reconnaissant la voix qui avait prononcé le nom de l’épée. Sans le savoir, ils formèrent en reculant un grand cercle autour d’Iclode. Le prince parut se consumer avant de devenir une véritable torche. Tout le monde put le voir. Plus il brûlait, moins il avait forme humaine. Il devint en quelques minutes une grande sphère de feu, qui chauffant de plus en plus, ressembla davantage à une boule de lave qu’à une sphère de feu. Une jaillissement de feu apparut, identique à celui d’un soleil. La sphère en était devenue une copie plus petite. Ce soleil réchauffait et éclairait autant qu’un vrai. La lave de l’éruption tomba sur le sol. D’autres débordements eurent lieu laissant tous une traînée de matière ignée sur le sol. Au bout du dixième un cercle de magma se forma. Deux nouvelles éruptions gigantesques jaillirent autour de la sphère, mais ces dernières ne ressemblaient pas aux autres. Elles avaient la forme d’ailes trois fois plus grandes que celles d’un aigle. __ Phénix ! vibra une voix venant de la sphère. Un grand cylindre de feu se forma autour du cercle et masqua le globe. Seules les ailes qui dépassaient du pourtour furent encore visibles. Perdant peu à peu de volume, il finit par disparaître. La sphère ailée prit une nouvelle forme, celle d’un oiseau de feu aux ailes déployées. Le spectacle fut grandiose. Iclode le phénix brilla comme une nova. Ce fut extraordinaire de beauté, il était devenu un feu vivant, d’un rouge aussi écarlate qu’un brandon de charbon chauffé à très haute température et d’un jaune si vif qu’il se confondait avec de la lumière. L’oiseau de feu prit son envol vers le disque solaire. Il s’éleva aussi vite qu’un feu de Bengale, ou plutôt comme un météore qui traverse le ciel. Plus belle qu’une étoile filante, la flamme du Phénix traversa le ciel telle une comète avec sa chevelure qui prit le rouge et la brillance de la lumière. Iclode émergea de l’atmosphère de la sphère bleue qu’était la Terre. Durant son trajet, sa vitesse devint hallucinante. Plus bas, en Egypte, le peuple aux abords des berges fertiles du Nil contemplait le firmament, qui quelques minutes auparavant n’était qu’un ciel noir, avec des nuages sombres, une lune et un soleil masqué. Enfin tout le monde put apercevoir sans l’aide du feu de la lave restante qui s’éteignit en quelques minutes, la tête du phénix auréolée de feu, ses yeux dont les pupilles renfermaient une flamme et son bec d’or. Une immense aile de feu passa au dessus d’eux. Comme une gomme elle effaça la nuit et laissa place à un ciel bleu ainsi qu’à un soleil plus beau que jamais. L’aile s’écarta peu à peu. Les spectateurs virent ensuite Iclode foncer sur le sol, se rétrécissant au fur à mesure de sa descente sans ralentir au risque de s’écraser, et reprendre forme humaine au contact du limon du Nil.
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